Prévoyance décès et arrêt de travail : quel professionnel choisir ?

Prévoyance décès et arrêt de travail

Publié le : 20 septembre 20218 mins de lecture

Pour les salariés, l’arrêt de travail signifie la perte de revenus. Cela va créer des troubles au niveau budgétaire. Aussi, le décès d’un proche peut menacer l’équilibre patrimonial du reste des membres de la famille toujours vivants. Les garanties de prévoyance offrent l’opportunité de se protéger contre les risques d’accidents, la maladie, etc, du moins financièrement. Pour cela, quel professionnel doit-on choisir ?

Comparer les différentes offres des différentes compagniescompagnies

La comparaison de différents types de 3ème pilier en assurance n’est pas une mince affaire. Ce n’est pas toujours facile de trouver le bon pilier puisque les avantages et les inconvénients varient beaucoup. Afin de comparer les 3èmes piliers en assurance, on doit au préalable se renseigner sur différentes compagnies. C’est en comparant les professionnels et leurs offres que l’on pourra mieux s’orienter. Mais il est recommandé de ne pas prendre de rendez-vous avec un conseiller si on est encore en phase de comparaison. Sinon, on risque de faire une erreur en choisissant la mauvaise compagnie. En général, il faut que toutes les offres demandées soient identiques dans toutes les assurances bien évidemment.

 

La même cotisation pour comparer les frais

On doit mettre le même montant dans son 3ème pilier suisse quelques soient les demandes d’offre des compagnies d’assurance. Aussi, il faut que le mode de paiement soit le même. En effet, il existe des professionnels par exemple qui prévoient des frais si on opte pour un paiement mensuel. Alors, il est indispensable d’être clair sur le mode de paiement. Comme cela, le conseiller peut faire une offre qui inclut déjà les frais nécessaires en cas d’arrêt de travail ou de décès. Du coup, il suffit de comparer les frais et choisir le moins cher. Par contre, il faudra également faire une comparaison des prestations entre les compagnies d’assurance.

Comprendre et évaluer l’assurance décès

Le troisième pilier souscrit auprès d’un cabinet d’assurances est une offre qui inclut une assurance décès, une assurance invalidité et une épargne. Quand on parle de 3ème pilier, on ne fait pas forcément allusion à l’assurance vie. On peut alors ouvrir un compte épargne 3ème pilier sans devoir souscrire une assurance vie. En général, les compagnies d’assurance peuvent toutefois proposer cette assurance pour un contrat 3ème pilier. Cependant, l’épargne qu’on a constitué peut être transmise à ses héritiers en cas de décès, à son conjoint ou ses enfants par exemple, pour qu’ils soient à l’abri financièrement. Ainsi, ils peuvent faire face aux besoins qui pressent le plus.

Pour bien faire la distinction entre contrat prévoyance et assurance vie :

Les maladies cardiaques sont restées la principale cause de décès au niveau mondial ces 20 dernières années. Cependant, elles tuent maintenant plus que jamais auparavant. Le nombre de décès dus aux maladies cardiaques a augmenté de plus de 2 millions depuis des années, pour atteindre près de 9 millions de décès vingt ans après.

Le taux de mortalité dû aux maladies cardiaques a globalement diminué par rapport à l’année précédente. Pourtant, il n’y a pas de raison de sonner le glas : malgré tous les progrès réalisés en cardiologie, les maladies cardiovasculaires sont loin d’avoir perdu leur horreur, avec plus de 338 000 décès par an. Une baisse de la mortalité est particulièrement évidente pour l’insuffisance cardiaque, qui a diminué de plus de 7 000 décès en un an pour atteindre 40 334 décès.

Beaucoup de fumeurs, de personnes en surpoids et de diabétiques sont concernés

L’insuffisance cardiaque est l’un des diagnostics les plus courants conduisant à un traitement en milieu hospitalier. Dans la plupart des cas, elle est le résultat d’autres maladies cardiovasculaires chroniques telles que l’hypertension artérielle, l’infarctus, le diabète, la cardiopathie valvulaire et la fibrillation auriculaire. L’importance de la prévention est depuis longtemps ancrée dans les directives de la médecine cardiaque. Pour y parvenir, il est nécessaire que les pouvoirs publics investissent davantage dans la prévention afin de proposer à la population des mesures efficaces et de les mettre en œuvre de manière durable. Aujourd’hui encore, près de 30 % des patients en réadaptation cardiaque sont des fumeurs, 18 % sont en surpoids sévère, 22 % sont diabétiques. Ces chiffres sont alarmants. Des mesures ciblées doivent être prises pour contrer ce phénomène. Le fait qu’une telle chose soit possible est prouvé par les données du registre des crises cardiaques : comme l’a montré l’actuel rapport sur le cœur, des mesures axées sur la population, telles que la protection légale des non-fumeurs, entraînent une réduction des admissions à l’hôpital dues à des crises cardiaques. Le registre a également montré que pour une mise en œuvre durable des programmes de prévention du tabagisme, d’activité physique et de nutrition auprès des groupes cibles, il faut également tenir compte de facteurs sociaux tels que le statut socio-économique et le niveau d’éducation.

Augmentation des traitements hospitaliers pour les arythmies cardiaques

Les arythmies cardiaques sont parmi les causes les plus fréquentes d’hospitalisation dans le monde entier. Selon le type et la gravité, les arythmies peuvent être associées à d’énormes pertes de qualité de vie. Et ils peuvent être dangereux, voire entraîner une mort cardiaque subite. L’augmentation annuelle des admissions de patients hospitalisés d’environ 8 400 cas pour atteindre 480 109 est frappante. Cette augmentation est en grande partie due à l’augmentation du nombre d’admissions de patients hospitalisés souffrant de l’arythmie la plus courante, la fibrillation auriculaire. Principalement en raison du risque accru d’accident vasculaire cérébral, il faut analyser de près cette augmentation et éduquer nos patients en détail sur les mesures préventives.

Les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes à mourir d’une maladie cardiaque

En outre, il est frappant de constater que les femmes sont beaucoup plus nombreuses à mourir de maladies cardiaques que les hommes. Si l’on considère toutes les maladies cardiaques, les femmes sont plus nombreuses à mourir que les hommes : 107 529 femmes : 51,9 % contre 99 503 hommes : 48,1 %. Les femmes atteintes de cardiopathies valvulaires, d’arythmies cardiaques et d’insuffisance cardiaque ont évidemment un pronostic moins favorable que les hommes atteints de ces maladies. Le taux de mortalité est 51 % plus élevé pour les cardiopathies valvulaires, 45,8 % plus élevé pour l’arythmie et 64,1 % plus élevé pour l’insuffisance cardiaque que chez les hommes. En chiffres absolus, 25 318 femmes sont mortes contre 15 016 hommes d’insuffisance cardiaque et 15 955 femmes sont mortes contre 10 648 hommes d’arythmie. Les cardiologues pensent que les causes possibles de cette disparité incluent des différences génétiques et anatomiques entre les sexes au niveau du cœur et des vaisseaux sanguins, ainsi que des différences dans les effets des médicaments cardiovasculaires et dans les symptômes des maladies cardiaques.

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